La pédiatrie féline

Bien démarrer dans la vie est essentiel.

Pour le chaton, les premières semaines de vie au sein de sa portée sont très importantes.

Pour acquérir de bonnes bases de relations avec ses congénères et que le chaton intègre son appartenance à l’espère féline, sa maman doit transmette toute une série de « règles » de vie indispensables à son équilibre psychique. C’est pour cette raison qu’il est important que le chaton reste au sein de sa nichée pendant minimum 8 semaines.

Les chatons sont considérés comme étant aptes à être sevrés de leur mère et sont donc disponibles à l’adoption. L’arrivée à la maison soulève la question de la prévention pour le jeune animal et pour son entourage. Gestion du parasitisme, identification, alimentation, vaccination, intégration du chaton dans sa nouvelle famille… toutes ces points sont abordés lors des visites pédiatriques recommandées dès 8 semaines.

Légalement, tout animal adopté doit être identifié par la pose d’une puce électronique avant toute cession, à titre gracieux ou onéreux.

L’alimentation de transition adaptée au jeune chaton est capitale pour lui assurer une croissance optimale et harmonieuse. La nutrition des chats est un sujet majeur de nos jours et nous sommes, en tant que professionnels de la santé, les plus à mêmes de pouvoir vous conseiller au mieux. Nous travaillons en étroite collaboration avec le laboratoire Dechra et pourrons vous indiquer la gestion nutritionnelle idéale pour votre chaton.

Les jeunes chatons sont souvent porteurs de vers gastro-intestinaux voire de parasites externes (puces, acariens…); un traitement adapté est donc nécessaire.

De même, l’immunité du jeune chaton est dépendante du statut immunitaire de sa mère et de la qualité du colostrum absorbé par le chaton dans ses 24 premières heures de vie.

Une vaccination est rapidement préconisée dès le sevrage et le changement d’environnement. Il s’agit d’un acte indispensable pour prévenir l’apparition de maladies très contagieuses que sont le Coryza, le Typhus, la Leucose mais également la Rage. Nous vous renseignerons sur le planning de rappel des vaccinations et vous transmettrons le carnet de santé ou le passeport, nécessaire si vous mettez votre chat en pension ou si vous l’emmenez à l’étranger.

Toutes ces mesures sanitaires préventives sont importantes à respecter.

Nous vous conseillons donc de prévoir, dès l’adoption d’un chaton, de venir nous le présenter en consultation pédiatrique. Nous nous assurerons de sa bonne santé en réalisant un examen complet et vous ferons profiter de nos conseils pour lui assurer le meilleur départ dans la vie.

Si vous venez d’adopter un chat adulte, cette première visite est tout aussi importante pour faire un état de santé de votre animal et adapter ensuite les soins éventuels ou l’alimentation en fonction des caractéristiques de l’animal.

La pédiatrie féline

Bien démarrer dans la vie est essentiel.

Pour le chaton, les premières semaines de vie au sein de sa portée sont très importantes.

Pour acquérir de bonnes bases de relations avec ses congénères et que le chaton intègre son appartenance à l’espère féline, sa maman doit transmette toute une série de « règles » de vie indispensables à son équilibre psychique. C’est pour cette raison qu’il est important que le chaton reste au sein de sa nichée pendant minimum 8 semaines.

Les chatons sont considérés comme étant aptes à être sevrés de leur mère et sont donc disponibles à l’adoption. L’arrivée à la maison soulève la question de la prévention pour le jeune animal et pour son entourage. Gestion du parasitisme, identification, alimentation, vaccination, intégration du chaton dans sa nouvelle famille… toutes ces points sont abordés lors des visites pédiatriques recommandées dès 8 semaines.

Légalement, tout animal adopté doit être identifié par la pose d’une puce électronique avant toute cession, à titre gracieux ou onéreux.

L’alimentation de transition adaptée au jeune chaton est capitale pour lui assurer une croissance optimale et harmonieuse. La nutrition des chats est un sujet majeur de nos jours et nous sommes, en tant que professionnels de la santé, les plus à mêmes de pouvoir vous conseiller au mieux. Nous travaillons en étroite collaboration avec le laboratoire Dechra et pourrons vous indiquer la gestion nutritionnelle idéale pour votre chaton.

Les jeunes chatons sont souvent porteurs de vers gastro-intestinaux voire de parasites externes (puces, acariens…); un traitement adapté est donc nécessaire.

De même, l’immunité du jeune chaton est dépendante du statut immunitaire de sa mère et de la qualité du colostrum absorbé par le chaton dans ses 24 premières heures de vie.

Une vaccination est rapidement préconisée dès le sevrage et le changement d’environnement. Il s’agit d’un acte indispensable pour prévenir l’apparition de maladies très contagieuses que sont le Coryza, le Typhus, la Leucose mais également la Rage. Nous vous renseignerons sur le planning de rappel des vaccinations et vous transmettrons le carnet de santé ou le passeport, nécessaire si vous mettez votre chat en pension ou si vous l’emmenez à l’étranger.

Toutes ces mesures sanitaires préventives sont importantes à respecter.

Nous vous conseillons donc de prévoir, dès l’adoption d’un chaton, de venir nous le présenter en consultation pédiatrique. Nous nous assurerons de sa bonne santé en réalisant un examen complet et vous ferons profiter de nos conseils pour lui assurer le meilleur départ dans la vie.

Si vous venez d’adopter un chat adulte, cette première visite est tout aussi importante pour faire un état de santé de votre animal et adapter ensuite les soins éventuels ou l’alimentation en fonction des caractéristiques de l’animal.

La gériatrie : Bien vieillir, c’est possible

Grâce à l’augmentation de la prévention accordée à nos chats ainsi que la qualité́ des soins que nous leurs apportons, il n’est de nos jours plus rare de les garder en forme jusqu’à l’âge de 17-18 ans, et parfois même plus … Ces chats « Séniors » sont exposés à des pathologies liées à leur âge :


1

L’arthrose

Maladie très fréquente chez le chat mais souvent sous diagnostiquée ; les chats atteints d’arthrose ne présentent pas les symptômes de manière aussi franche que les chiens arthrosiques. Un chat souffrant d’une maladie arthrosique boite généralement peu ou pas, contrairement à ce que l’on peut observer chez le chien âgé.

Le chat arthrosique « cache » davantage ses douleurs ; il hésite à sauter, fait plus de bruit à la réception d’un saut par perte de souplesse, peut présenter du « Rolling skin syndrom »… Ces différents signes sont souvent révélateurs d’une douleur articulaire.

On considère que 90% des chats de plus de 10 ans souffrent d’arthrose.


2

L’insuffisance rénale

Il s’agit également d’une maladie fréquente des chats âgés. Animaux d’origine désertique, les chats ont des reins capables de concentrer fortement les urines, ce qui les conduits à peu s’hydrater. Ce faible apport d’eau force les reins à travailler de manière intense ce qui peut engendrer un vieillissement prématuré́ de ces organes. Une fois les reins abimés, le chat n’est plus apte à concentrer ses urines de manière efficace ce qui l’oblige à consommer plus d’eau pour compenser les pertes urinaires.

Ces maladies, très courantes dans l’espèce féline, peuvent être gérées si elles sont diagnostiquées précocement et prises en charge correctement.

Nous vous invitons, dès que votre chat atteint l’âge de 8 ans, à réaliser un « Bilan Senior » basé sur des analyses sanguine et urinaire permettant d’explorer les fonctions rénale, hépatique, juger de sa glycémie … et ainsi s’assurer que votre chat est en pleine forme.

La gériatrie : Bien vieillir, c’est possible

Grâce à l’augmentation de la prévention accordée à nos chats ainsi que la qualité́ des soins que nous leurs apportons, il n’est de nos jours plus rare de les garder en forme jusqu’à l’âge de 17-18 ans, et parfois même plus … Ces chats « Séniors » sont exposés à des pathologies liées à leur âge :

Maladie très fréquente chez le chat mais souvent sous diagnostiquée ; les chats atteints d’arthrose ne présentent pas les symptômes de manière aussi franche que les chiens arthrosiques. Un chat souffrant d’une maladie arthrosique boite généralement peu ou pas, contrairement à ce que l’on peut observer chez le chien âgé.

Le chat arthrosique « cache » davantage ses douleurs ; il hésite à sauter, fait plus de bruit à la réception d’un saut par perte de souplesse, peut présenter du « Rolling skin syndrom »… Ces différents signes sont souvent révélateurs d’une douleur articulaire.

On considère que 90% des chats de plus de 10 ans souffrent d’arthrose.

Il s’agit également d’une maladie fréquente des chats âgés. Animaux d’origine désertique, les chats ont des reins capables de concentrer fortement les urines, ce qui les conduits à peu s’hydrater. Ce faible apport d’eau force les reins à travailler de manière intense ce qui peut engendrer un vieillissement prématuré́ de ces organes. Une fois les reins abimés, le chat n’est plus apte à concentrer ses urines de manière efficace ce qui l’oblige à consommer plus d’eau pour compenser les pertes urinaires.

Ces maladies, très courantes dans l’espèce féline, peuvent être gérées si elles sont diagnostiquées précocement et prises en charge correctement.

Nous vous invitons, dès que votre chat atteint l’âge de 8 ans, à réaliser un « Bilan Senior » basé sur des analyses sanguine et urinaire permettant d’explorer les fonctions rénale, hépatique, juger de sa glycémie … et ainsi s’assurer que votre chat est en pleine forme.